Comment J'Y Suis Venu Ep 10 : Apte Pour Le Service

COMMENT J'Y SUIS VENU
EP 10 : APTE POUR LE SERVICE


A leur tour, ils devenaient câlins avec moi. Mais pas que ! Les enfoirés ! Ils ne parlaient pas de me libérer ? Je décidais de ne pas aborder le sujet dans l'immédiat et puis j'avais la possibilité de découper en limaille le cadenas si je le voulais. Oui je sais en limaille c'est une grosse colère mais bon si je m'énerve moi ... Il ne faut pas me chercher !

Un bon mois s'était passé depuis cette soirée, je personne n'avait parlé de me retirer ou pas le dispositif de chasteté. Je n'en parlais pas non plus. Ça se passait bien finalement. J'avais déjà passé un mois avec ce dispositif sur moi et tout s'était bien passé. Pour le moment je ne m'inquiétais pas vraiment. Mais comme je vous le disais plus, j'étais peut être sous clé, mais c'était volontaire !

De nouveau je devenais plus câlin, mais que ! Je devenais plus réceptif. Un soir ils m'ont fait un mauvais plan … Les enfoirés !

On faisait une soirée, chez quelqu'un que je ne connaissais pas. Je me disais bien '' Oula ! Je sens qu'ils vont me faire un mauvais plan ! ''. Francis avais sa tête de farceur, je veux dire par là, encore plus que d'habitude et c'est tout dire. Sur la route Didier aussi avait un sourire de circonstance.

C'est Didier qui conduisait, ils m'emmenaient à la campagne pour passer le week end. J'aime bien la campagne moi. On peut faire de grandes promenades, les soirées d'hiver devant la cheminée à discuter en savourant un bon verre de vin. Je me souvenais d'une soirée comme ça. Avec un ami on avait passé un week-end délicieux. La cheminée nous réchauffait, on était allongé sur un tapis très épais. On était resté à poil pendant deux jours et on n'avait baisé aussi pendant tous le temps qu'on était à poil. C'était un bon souvenir.

Ça faisait cinq semaines que je ne m'étais pas tripoté la nouille. Je me demandais ou on allait. Je n'étais pas inquiet mais tout à fait serein, ce sont des farceurs pas des satyres.

On roulait près de deux heures, on traversait un petit village, on suivait une route secondaire puis une petite route qui semblait avancer entre deux champs. C'est un coin paumé !

On s'arrêtait finalement sous un arbre, je regardais autour de nous … Il n'y avait rien !

Moi : Mais vous m'avez emmené ou ?
Didier : Chez un ami, tu ne le connais pas !
Moi : Mais on n'est nulle par ici !
Francis : Mais si, regarde là juste derrière le gros buisson, on aperçoit une maison.

On sortait de la voiture et en effet il y avait une belle maison, pas très grande mais très jolie. Une petite maison de campagne très bien restaurée avec des massifs de fleurs devant. Ça devait être calme, peut être un peu trop même mais c'est une question de goût.

La porte s'ouvrait et un homme que je ne connaissais pas nous faisait signe, il nous souriait. On entrait, l'intérieur était simple mais agréable. Mobilier rustique mais de bon goût qui allait très bien avec le décor extérieur. Il faisait un peu frais dehors et la cheminée était allumée. Une cheminée ça réchauffe tout de suite l'atmosphère et tout de suite je me sentais bien. On me présentait Djef !

Djef c'est pas son vrai nom mais tout le monde l'appelle comme ça. Un beau gaillard, bonne tête, bonne allure, souriant et agréable. Il nous servait un verre. Et on discutait .

Djef : Alors c'est de lui que tu me parlais ?
Didier : Ouai ! Tu le trouves comme ?
Djef : Il est pas mal ! J'aime bien ! Et tu crois qu'il sera d'accord !
Francis : Lui ! Il est toujours partant ! Tu vas voir on n'arrive plus à le retenir !
Moi : Bon, éh, oh, éh, les gars ! C'est de moi que vous parlez là !
Francis : Ne te fâche pas doudou, il regarde la marchandise c'est tout !
Moi : La marchandise ! Non mais ! …

Ils rigolaient tous les trois.

Djé : Mais ne te fâche pas bonhomme. On déconne … Et de toutes façons personne ne te fera ce que tu ne veux pas.

Moi : Ouai ben, moi personne ne me touche …
Didier : C'est d'accord.
Moi : Il y a intérêt ! Non mais, oh, éh, oh, éh !
Francis : Fait attention à ce que tu demande …
Moi : De menaces ?
Francis : Non des promesses !
Djé : Alors tu veux que personne ne te touche ?
Moi : Parfaitement !
Djé : Bien c'est d'accord. Personne ne te touchera !

On frappais à la porte. Djef allait ouvrir. Trois autres gaillards du même genre entraient. Là je me disais … '' je sens que je vais m'amuser '' … On me présentait, Rapp ( il paraît qu'on l'a surnommé comme ça parce qu’il fait du rap ) et Larsen ( C'est lui qui s'occupe de la sono du groupe de rap ) . J'imaginais tout de suite pourquoi.

Tout le monde se faisait la bise.

Rapp : C'est lui ?
Larsen : Qui tu crois que c'est d'autre ?
Moi : Mais ça va les mecs , je ne suis pas un morceau de viande !
Rapp : De toutes façons on n'est pas végétariens et tu m'as l'air très comestible !
Moi : Beuh !

Je faisais un peu la gueule et je me demandais si c'était un compliment !

Me retournant vers me copains …

Moi : Ils sont charmants vos potes !

Je me retournais vers les trois autres et déjà Rapp et Larsen s'embrassaient goulûment. Chacun agrippait l'autre par ses vêtements. Ils se tenaient fermement, c'était viril. Djef regardait ça et se mettait torse nue. Didier et Francis faisaient de même.

C'est Djef qui qui se retrouvait à poil en premier. Je le regardais retirer ses vêtements et je bavais. C'est qu'il est balaise le mec, musclé, poilu et en plus il est monté comme un âne. La vache !

Ça faisait plus de quatre semaines que j'étais en situation d'abstinence, pas de branlette, pas de tripotages, pas d'éjaculation. Je me faisais bien défoncer le cul régulièrement mais pour le reste … Que dalle ! Nada ! Je me levais et frénétiquement je retirais mes vêtements aussi.
J'étais à poil avant mes deux copains qui m'avaient emmené ici. Djef me regardait avec un air amusé. Il venait vers moi avec un air sévère, très mâle. Sa queue se redressait menaçante devant lui, il posait un doigt sur moi, sous ma gorge juste au dessus de mon plexus solaire. Il appuyait et me poussait en arrière. Il était musclé le mec, j'y croyais pas ! Il me poussais, toujours avec ce regard sombre, je reculais ( bein oui j'aurais voulu vous y voir moi, il me poussait avec un doigt ), je retombais sur le canapé …

Djef : Toi tu restes là. Tu ne voulais pas qu'on te touche. Personne ne te touchera !

Je me liquéfiais, je ne savais plus quoi dire. Je ne savais plus quoi faire.

Larsen me disais simplement : '' Toi tu regardes c'est tout ce que tu as le droit de faire ! ''.

J'étais vert ! Ils ne vont pas oser, j'avais la bouche ouverte mais je ne parvenais pas à articuler le moindre mot. '' Tu as gagné ! '' me balançait Francis. Didier rigolait et me disait : '' Ils ne sont pas végétariens mais moi je suis un beau morceau et j'ai une belle saucisse ''. Mes deux potes étaient nus également.

Il s'approchaient de Djef et se prenaient tous les trois dans les bras. Francis embrassait Djéf pendant que Didier se penchait pour le sucer. J'avais les yeux riveté sur ces trois là ! Toujours la bouche ouverte, je suppose que là je n'avais pas l'air futé, je ne parvenait pas à articuler mais par contre je bavais d'envie. La bite à Djef … La vache … Je me la prendrais bien dans le cul moi … Même si on doit couiner quand il l'enfonce …

Mes deux potes échangeaient leurs positions. Francis avalait la queue de Djef avec une certaine facilité. Là il me surprenait mon petit Francis … Je ne vous avais pas dit que c'était une grosse salope ? Si non, j'aurais du ! Francis, c'est pas seulement un enfoiré !

Djef était traite comme un maître, il demandait, on le servait. Mais qu'est ce qu'il était viril ! J'y croyais pas.
Il avait une voix grave et douce. Pas besoin de parler fort pour se faire entendre, il demandait à Didier de se pencher et de lui offrir son cul. Sans hésiter Didier obtempérait, il s'appuyait sur le fauteuil. Puis Djef demandait à Francis de s'installer sur le fauteuil, Didier se relevait puis reprenait place. Djef enfin demandait à Didier de sucer Francis. C'était fait. Je ne le lâchais pas des yeux, je bandais comme un fou dans ma cage, c'était vraiment désagréable, presque douloureux.

Dans ma tête c'était un incendie. Par moment j'avais l'impression que ma cervelle fondait et même s'évaporait par les oreilles. C'est tout dire !

J'avais oublié les deux premiers, je me tournais les yeux vers eux. C'était encore pire. Ils étaient à poil tous les deux. Ils étaient dans le cadre d'une porte. Paff avait les bras levé, il se tenait les bras et se retenait au cadre de la porte, il bandait, lui aussi il avait une bite de monstre. C'est Pouf c'est pas Paff … Non c'est pas Pouf non plus c'est … ça y est j'ai grillé un étage de neurones là ! La vache ! Donc c'est Rapp, voilà il se faisait enculer par son pote … Je sais plus comment il s'appelle celui là. Ça y est une deuxième étage de neurones. Je vais devefinir gâteux précoce moi si ça continue. Il gueulait Paff, ça y est je me souvient ce sont les cris qui réactivent ma mémoire l'autre c'est Larsen !

Bon je respirais un bon coup, dans ma cage c'était la folie. Je relevais les yeux et je récapitulais … Rapp se tenait au cadre de la porte, les mains en l'air et Larsen l'enculait avec rage …

J'ai eu du mal à la sortir celle là ! Ça y est j'entends les neurones exploser les uns après les autres . Larsen retirait un court instant sa queue du cul de son copain et j'étais saisi. Il était aussi bien monté que les deux autres. Mais je suis ou moi ? Chez les champions de la grosse bitte en chaleur ?

En tous cas moi j'étais en chaleur, c'est juré dès mon retour après ça je retire mon truc, je me branle toute la nuit et sur ma lancée sans interruption je me trouve un mec, je l'encule, un autre et l'encule aussi. Da la salive coulait de ma bouche, je m'essuyais.

J'ai pas la clé je sais mais je m'en fou !

Larsen se lâchait dans le cul de Rapp qui gueulait et en redemandait, ils se tordaient dans tous les sens. C'était violent ! Là c'est les cheveux qui tombaient de ma tête, en tout cas l'impression que j'avais. Je vous jure, ces trois mecs à poil, c'était à vous faire tomber les cheveux de la tête, c'était plus une expression, j'allais finir chauve avant la fin de la soirée. Musclés, poilus, virils,vraiment viril, tous les trois montés comme des ânes, ils assuraient les mecs, si le but était de me chauffer la tête, ça marchait bien.

Mon cul se contractait de peur avant de se détendre comme s'il renonçait à toute résistance inutile.

Mon regard revenait sur mes potes. Didier était effondré, penché, appuyé sur les genoux de Francis, il avait toujours la bite de Francis dans la bouche et celle de Djef dans le cul. Lui aussi il se lâchait, ce sont des sauvages ces trois là !

J'étais en transe, je respirais fort, j'avais le souffle court, un peu comme juste avant que je jouisse mais, là je n'allais pas jouir. Là j'allais être frustré, j'étais mal ! Délicieusement mal ! J'avais maintenant l'impression que mon thorax pourrait exploser à tout instant, je manquais d'air.

Paff gueulait comme un fou, il gueulait déjà depuis un moment vous allez me dire, mais là il hurlait encore plus fort, son pote Sourdine qui l'enculait se mettait aussi à hurler … Je voyais Paff éjaculer avec violence et un jet de sperme allait se loger sur le mur d'en face et le traversait …

Faites pas gaffe là, je délire, le manque d'oxygène ! Les prénoms je les mélange un peu. Bon ça giclait fort mais pas si loin, un jet épais suivi d'un autre, puis un suivant puis quelques autres plus faibles. Ils laissaient une longue marque blanche devant lui. Son pote Volume se retirait et une fuite laissait tomber juste entre les jambes du premier un long filet blanc. Je tremblais, ma vue se troublait, mes neurones devaient se sentir mal eux aussi. La vache !

Mais pourquoi personne ne veux pas me toucher moi ! C'est pas juste ! J'avais envie de brailler mais je n'arrivais même plus à parler. Vous faites pas gaffe si je me suis encore embrouillé la tête avec les prénoms mais je ne savais même plus comment je m'appelais moi à ce moment précis !

Je regardais de nouveau les trois autres. Là j'avais loupé quelque chose … Didier ne bougeait plus, il n'était pas mort je vous rassure ! Djef s'était retiré, il avait éjaculé sur le dos de Didier. Francis aussi avait éjaculé sur la figure de Didier. Il en avait de la chance mon pote Didier ! Il avait posé sa tête sur un genoux à Francis et me regardait, il avait le regard vague. Moi c'est dans ma tête que tout était vague, je vous jure tellement vague que je suis sûr que dans mes oreilles on pouvait entendre la mer.

Plus personne ne bougeait, Rapp et Larsen se calmaient et se faisaient un câlin. Je ne pouvais qu'admirer ces deux corps magnifiques qui après avoir déchaîner une telle violence virile se relâchaient maintenant avec une infinie tendresse, avec une infinie douceur. Je me serais damné pour qu'ils me prennent dans leurs bras musclés. Ça y et j'avais atteint la température de saturation je disjonctait et me mettais en pause.

Il se retrouvaient tous vautrés dans les fauteuils et sur le canapé à côté de moi. Djef me donnait une claque sur la cuisse. Je sursautait à peine mais me contentait de trembler.

Djef : Alors Biloute, ça se passe bien pour toi ?
Moi : WOWOWOWOWOUWOU oui !

J'avais du mal à articuler. Il se marrait à m'entendre.

On était chez Djef aussi il se transformais en hôte attentionné et nous servait à boire. C'est vrai qu'on n'avait pas eu le temps de se prendre un petit alcool .

Djef me proposait un Whisky, je faisait oui de la tête. Il versait le Whisky dans un verre : '' Tu me diras d'arrêter !'' . Arrivé à la moitié du verre il arrêtait et me regardait d'un air interrogatif. Sans hésiter je prenais le verre et le vidais d'un trait. Je reposais le verre et …

Moi : Soif ! Encore !

En rigolant il me servait une autre dose … Je ne comprenais plus rien à ce qui se passait … Une pizza arrivait sur la table puis une seconde … On mangeait. Plus tard on continuait à discuter. On me demandait mon avis, peu à peu je parvenais à parler de nouveau. Mon cerveau faisait un reset.

Moi : Vous êtes marrants les mecs mais vous avez vu dans quel état vous m'avez mis ?

Ils rigolaient .

Didier : C'est toi qui l'a cherché !
Moi : C'est malin !
Djef : J'ai un truc à te proposer.

Tout le monde le regardait.

Djef : Bon tu veux t'amuser avec nous ?

Je faisais oui de la tête et terminais la part de pizza.

Djef : Je suis prêt à soutenir ta candidature.

J'ouvrais de grands yeux.

Djef : Bien tu viendras ici tous les week-end.

Je faisais oui de la tête.

Djef : Personne ne te touchera et tu ne ne touchera personne.

Je relevais les sourcils.

Djef : Pedant un mois … Absolument personne, même ailleurs …

Je faisais la moue.

Djef : Par contre quand on va t'utiliser comme jouet tu vas voir ce que tu vas voir …

Je réfléchissais un long moment, comme si j'étais en état de réfléchir, je n'avais pas encore terminé mon reset, puis je faisais oui de la tête. En fait je n'avais rien compris mais bon c'est pas grave, je me disais simplement '' On verra bien ''

C'est vraiment une bande d'enfoirés eux aussi. Pendant un moi tous les Week-end j'ai été témoin de leurs sauteries. A chaque fois j'en ressortais dans un état lamentable. Surtout que plus personne ne me touchait pendant la semaine. J'étais enfermé dans ma cage à bite, à chaque fois je me disais … '' Le jour ou ils vont me libérer on va bien s'amuser. Les semaines ont passé et … Vous vous souvenez il avait parlé de m'utiliser comme jouet, il n'a jamais parlé de remonter le jouet … La clé n'était donc pas nécessaire.

Passé un moi j'étais tellement en manque, tellement frustré de les voir s'envoyer en l'air alors que moi je n'avais même pas le droit de me tripoter que j'aurais fait n'importe quoi pour pouvoir jouer avec une belle grosse bitte. J'y ai finalement eu droit et je ne vous raconte pas mais elles étaient vraiment très grosses les bites. Je l'ai senti passé. Ils m'ont enfilé tous les trois les uns après les autres. Le samedi soir j'avais le cul large comme le tunnel du mont blanc. Ils ont remis ça le dimanche …

Après cette soirée mémorable ils m'ont adopté comme jouet officiel. Je n'avais qu'une chose à faire … Mais vous savez on devient vite addicte à ce genre de truc et j'acceptais de le garder un an. Oui j'étais apte pour le service, j'étais bon pour un an !

Mais c'est vrai qu'on devient vite addicte à ce truc, le moi prochain on va renégocier le contrat … Ça fait un an déjà !

FIN

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